La chanson de Bersillies
Texte et Musique de Madame Marie Louise Mercier
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1. Connaissez-vous, ma chère, un beau coin du pays ?
Il est sur la frontière, Bersillies-l'Abbaye.
C'est un gai vallon, sa rivière au fond, a de bien jolis méandres,
Et sur les coteaux, chantent les oiseaux, venez, venez les entendre.
2. Nous sommes les écolières d'un village wallon,
Et toutes nous sommes fières de notre beau vallon.
C'est un gai vallon, sa rivière au fond, a de bien jolis méandres,
Et sur les coteaux, chantent les oiseaux, venez, venez les entendre.
3. De nos bois, le feuillage aux multiples couleurs
Pare le paysage si cher à tous nos coeurs.
C'est un gai vallon, sa rivière au fond, a de bien jolis méandres,
Et sur les coteaux, chantent les oiseaux, venez, venez les entendre.
4. Aux enfants d'être sages pour le rendre plus beau
Et sur notre village, flotte petit drapeau.
C'est un gai vallon, sa rivière au fond, a de bien jolis méandres,
Et sur les coteaux, chantent les oiseaux, venez, venez les entendre.
Nous devons la découverte de ce chant à Paulette MERCIER,
fille de Madame Marie Louise MERCIER, institutrice à Bersillies de 1937 à 1963,
qui le composa vers les années 1960.
La partition fut écrite par Claude HERMANT, dernier instituteur en chef avant la
fusion des commnunes. La transcription de l'accompagnement à la guitare classique est
une proposition de Robert Debauche.
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